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Auteur/autrice : Sandra Dupuis

Méditation: la sensation du vivant en nous

Bonjour à tous!

Alors que je me préparais à continuer à explorer avec vous les yeux et la vision, un autre sujet s’est imposé à moi : explorer la sensation du vivant en nous.

Avec le printemps et Pâques (la fête de la vie), la période est particulièrement propice à observer ce vivant en mouvement à l’extérieur de nous. Alors pourquoi pas aussi à l’intérieur ?

Prendre conscience de ce vivant en nous c’est se reconnecter à une force qui est présente en chacun de nous, quoi qu’il soit et quel que soit les conditions. Il est assez facile de se déconnecter de la sensation du vivant. Stress, temps d’écran, anxiété sont quelqu’une des possibles raisons de déconnection.

Nous pouvons nous en déconnecter temporairement oui, mais tant que nous sommes vivants, ce vivant ne nous quitte pas. IL EST TOUJOURS LÀ. Simplement, pendant un temps, nous ne le sentons pas.

La beauté du printemps nous rappelle à ce vivant. « Oui, peut-être me direz-vous mais alors pourquoi explorer la sensation du vivant en nous ? »

Et bien, est-ce qu’il vous arrive de vous sentir plus joyeux, plus tranquille, de bonne humeur ou moins soucieux dès que le soleil commence à brille, les oiseaux à chanter et les fleurs à éclore ?

Peut-être qu’explorer le vivant en nous pourrait nous amener un peu de joie, un peu de tranquillité, un peu de bonne humeur ou un peu moins de soucis peu importe les conditions extérieures ? Et peut-être encore bien plus que ca?

A vous de l’expérimentez avec la pratique de ce mois 🙂

Chaleureusement,
Sandra

P.S : La prochaine pratique se construira sur celle-ci. Si elle vous parle pratiquez la souvent (idéalement chaque matin) jusqu’à la prochaine vidéo

Continuons l’exploration de nos tensions!

Bonjour à tous !

Le mois passé je vous parlais de la manière dont le corps pouvait épuiser son énergie en conservant des tensions et contractions chroniques. Nous avons commencé à explorer la mâchoire, un des endroits clés ou ses tensions peuvent s’accumuler.

Je vous proposer de continuer notre exploration de ces zones de tensions avec les sous-occipitaux.

Derrière l’articulation (temporo-mandibulaire ou ATM) de la mâchoire se trouvent 8 petits muscles profonds qui connectent le crâne (et plus précisément l’os occipital, d’où le nom sous-occipitaux) et les deux premières vertèbres cervicales, l’atlas et l’axis. Ce sont quatre pairs de muscles : le rectus capitis posterior minor, le rectus capitis posterior major, l’obliquus capitis superior et l’obliquus capitis inferior.

Ces muscles sont très particuliers : leur rôle primaire n’est pas locomoteur. Très riches en récepteurs sensoriels, ils informent notre cerveau de la position de notre tête dans l’espace et participent à l’équilibre et à la posture du corps entier. Ce système musculaire cervical profond est directement lié à la moelle épinière (à travers la dure-mère) et fonctionne en synergie avec les yeux et l’oreille interne.

Ce carrefour important est bien souvent un centre de stockage pour les tensions de la nuque et de la tête ce qui peut affecter son fonctionnement optimal. De nombreuses études montrent, de plus, le lien entre tension des cervicales hautes, maux de tête, tensions de la nuque ou tensions de la mâchoire. Une étude de Hu (1995) a notamment montré qu’en améliorant le tonus des recti capiti posterior minor, on peut normaliser la circulation au niveau de la dure-mère et indirectement normaliser le tonus des muscles de la nuque et du cou (normaliser le tonus signifie que les muscles deviennent ni trop contractés ni trop relâchés).

La sursollicitation des yeux est une des sources de tension primordiales des sous-occipitaux. Il y a l’utilisation de plus en plus grande des écrans mais pas que… nous y reviendrons ! Si les yeux peuvent contracter cette zone, ils peuvent aussi la relâcher 🙂

Je vous propose de l’explorer à travers la pratique de ce mois!

Bonne pratique !

Chaleureusement,
Sandra

(C) The image is licensed under the Creative Commons Attribution-Share Alike 2.1 Japan license.

Des difficultés à débuter 2021?

Bonjour à tous ! Bonne année!

Comment faire quand l’énergie n’est pas ou peu au rendez-vous ? C’est la question que ce début d’année m’a forcée à me poser. 2021 a commencé avec une certaine lenteur et inertie, comme dans la mélasse.

Chaque période porte sa propre dynamique. Il se peut aussi qu’il y ait encore beaucoup à digérer de 2020. Peu importe comment l’année a été vécue.

Quand l’énergie vient à manquer, les possibles challenges ne manquent pas :
– Les anciennes habitudes et tendances peuvent revenir au galop (voir se renforcer) que ce soit au niveau du corps, des émotions, des pensées,..
– On a beau savoir ce qui serait bien/ ce qu’on devrait faire, le mettre en pratique est difficile (ceci est vrai en tout temps mais plus encore quand l’énergie manque)
– Une boucle négative peut être engendrée par l’addition des deux derniers points et nous propulser dans une spirale pas très positive.

Asseyez-vous. Prenez conscience de vos pieds, de votre bassin. Sentez votre respiration.

Et rappelez-vous : même si expérimenter des périodes plus difficiles fait partie de la vie, cela reste difficile… Soyez doux avec vous, indulgent, généreux. Offrez-vous le bénéfice du doute.

Le bénéfice du doute ?

Oui, douter de cette possible impression de régresser, de la possible croyance que le problème principal c’est vous.

Quand des challenges connus réapparaissent, ils pourraient, peut-être, être une occasion de les expérimenter différemment. Chaque petit changement dans la manière de vivre et de répondre à ces challenges compte. Pour cela, il est utile de retrouver un peu d’énergie.

Face aux épreuves, une des réponses fréquentes est de résister, de se contracter, de repousser. Au niveau du corps, cela peut s’exprimer à travers des tensions et contractions dans des endroits « clés », comme par exemple les mâchoires. Le corps dépense une énergie folle pour conserver ces tensions et contractions, pour continuer à résister (sans même que nous nous en rendions compte !).

Ce qui est important de se rappeler c’est qu’en réduisant ce qui consomme trop d’énergie, on peut en retrouver ! La pratique de ce mois va vous y accompagner 🙂

Cela vous aide ? Tenez-moi au courant !

Vos feedbacks me sont précieux.

Chaleureusement,

Sandra

Bienvenue dans mon univers!

Il y a 5 ans, EMBODYWORK est né lors d’une nuit hivernale dans un petit chalet de montagne, au coin du feu. En une nuit, logo et site web ont jailli et m’ont fidèlement accompagné jusqu’à aujourd’hui.

Les années ont passées et, avec elles, mon travail et mon univers se sont approfondis. Pour pouvoir les exprimer, il me fallait un nouveau site et une nouvelle identité.

Cette fois-ci, une nuit n’a pas suffi.

Depuis plus d’un an, accompagnés par des professionnels, ce site et cette identité ont été développés, questionnés, et construits pour arriver à un résultat qui révèle qui je suis. Merci à René Zurcher, Samuel Monnard et Sabrina Righetti pour cet accompagnement.

Merci, aussi, à tous mes patients, actuels et anciens, pour leur confiance.

Soyez les bienvenus dans mon univers,

Sandra

Chantal

Je souffrais depuis dix mois de problèmes de nuque et d’épaule ainsi que d’une épicondylite, et mes différents passages chez l’ostéopathe et le physio n’apportait aucune solution durable. Au fur et à mesure des séances, la manière dont je me tenais s’est améliorée et les tensions causées par les mauvaises habitudes posturales que j’avais prises se sont atténuées de manière significative.

Yanick

J’avais beaucoup de mal de dos, et je cherchais une solution pour améliorer mon quotidien. Les effets se sont vite fait ressentir avec très vite une transformation notable. Aujourd’hui, cela fait presque 7 mois que j’’ai terminé les séances. Mon quotidien s’est beaucoup amélioré.

Travailler avec la résistance plutôt que contre

Cette semaine, j’ai envie de vous parler de résistance. De cette force qui s’oppose, repousse, refuse.

Cette résistance est comparable à la résistance électrique, la propriété d’un composant à s’opposer au passage d’un courant électrique. Elle peut aller de 0 (supraconducteurs) à +∞ (isolants parfaits), elle peut nous traverser, sans nous impacter, ou nous envahir et nous vider. Quand elle est plus grande que 0, la résistance nous fait perdre de l’énergie. Plus on résiste, plus on en perd. On peut résister à ce qui arrive et on peut aussi résister à sa propre résistance.

La résistance amène irrémédiablement de la souffrance. Les bouddhistes la nomment dukkha (souffrance). Cette résistance se situe dans le corps comme dans l’esprit. Pour l’adresser, il est donc possible, comme pour tout autre chose, de rentrer par une porte (le corps) ou l’autre (l’esprit).
Depuis deux mois, ma pratique de yoga vise spécifiquement à réduire cette résistance dans le corps (je vous en parlerai plus dans de futurs newsletters).

Et un miracle est arrivé :

Cette semaine, j’avais décidé de prendre du temps pour les textes de mon nouveau site web (en cours de préparation !) ainsi que pour mes impôts, deux des activités avec lesquelles j’ai le plus difficultés. Par difficultés, j’entends que je n’ai pas envie de m’y atteler, que j’y résiste, que cela crée beaucoup de tensions. C’est un peu comme si je me métamorphosais en âne qui refuse d’avancer! Dans ce genre de cas, la procrastination peut être une solution mais, cette semaine, ça n’était pas une option, j’avais des délais à respecter.
Et la miracle : j’ai trouvé comment travailler avec cette résistance plutôt que contre. Naturellement. J’ai pu me mettre à travailler avec (un certain) plaisir plutôt qu’en me forçant. Que d’énergie et de satisfaction gagnée ! Que de souffrance évitée !

***Je vous en parle dans la vidéo de cette semaine.***

Et vous, à quoi résistez-vous et comment y réagissez-vous ?

Bonne pratique,
Sandra

Nathalie

Étant de plus en plus voûtée, j’attendais une aide pour me redresser, de façon naturelle. Expérience très riche, sur le mouvement, la posture, portée par un regard compétent, bienveillant, individualisé. Le résultat va au-delà de mes attentes. Je suis très satisfaite.

Irène

Sandra me traite à son niveau comme sur un pied d’égalité = troublant, bouleversant. C’est une collaboration, on travaille ensemble (pas comme chez une ostéo). Je sens une réelle compassion. Elle panse une blessure et me réconcilie avec quelque chose. Je réalise à quel point le travail n’était pas que postural, et c’est sûrement le plus important.

Ariane

Je recommande vivement Sandra qui fait un excellent travail tout en finesse et en pleine présence. J’ai apprécié sa capacité à mettre en mots ce qu’elle observe et sa clarté à transmettre, ce qui m’a permis de prendre conscience et transformer certaines de mes habitudes et postures. Merci Sandra, je vous souhaite une belle continuation.

Jannick

J’avais des problèmes lombalgiques (mal de dos) et, suite au traitement, le résultat est très positif. Les douleurs ont disparu et il me semble que consciemment ou inconsciemment j’ai modifié certains comportements. Excellent contact avec la thérapeute qui a bien cerné mes problèmes et besoins, ce qui qui est primordial pour moi.

Quand le corps ne sait pas ou il se trouve

Trop d’informations peut créer une confusion.

Trop peu d’informations peut avoir exactement le même effet.
Quand le corps ne sait pas où il se trouve, ce qui se passe autour de lui, il va réagir. Se solidifier. Des tensions vont apparaître.

Une des conséquences de cette solidification est que certaines parties du corps vont perdre leur « indépendance ». La jambe bougera comme un bloc avec le bassin, ou la cage thoracique avec le bassin ( par exemple). On pourrait comparer cette fusion dans le corps à celle d’un couple. Cela pourrait bien fonctionner,  pour un temps mais, chaque partenaire finirait, à un moment, par souffrir d’avoir perdu sa propre identité.
En travaillant avec le corps, on peut réapprendre à chacune de ses parties à retrouver son identité, tout en fonctionnant avec les autres. C’est une des bases de mon travail en cabinet.
Ca n’est pas quelque chose que l’on peut juste décider mentalement, on doit en faire l’expérience sensoriellement. Cette expérience demande des conditions préalables : retrouver un sens de soutien, une sensation de poids, une direction.

Je vous propose d’en faire vous-même l’expérience avec la vidéo de cette semaine.

Belle pratique!

Chantal

C’était à chaque fois un plaisir, après les séances me sentais détendue et légère. Beaucoup de problèmes à résoudre qui demandait d’autre soins que le Rolfing, je peux juste dire que ça fait partie d’une des thérapies que j’ai suivie qui m’a beaucoup aidé physiquement et psychologiquement. L’objectif est de traiter sur le long-terme. Amener un changement et non juste réparer comme d’autres thérapies. L’avantage du cabinet c’est surtout la thérapeute. Une personne à l’écoute, sympathique et très pro.

Anne-Cécile

Le Rolfing est une pratique thérapeutique qui aborde le corps de manière holistique, comme un tout intégré, et qui lui propose une autre manière d’opérer afin qu’il dépasse des habitudes qui ne lui sont plus forcément bénéfiques.

Catherine

Faire un “Reset” suite à une chute à vélo. Travailler en profondeur des postures induisant tensions récurrentes. Durée du traitement adéquate, efficacité souhaitée , soins en rapport avec besoins, tensions évacuées.

Saturé d’informations?

Nous recevons, de manière quasi continue, quantité d’informations.

On pourrait comparer l’ère actuelle de l’information & de la communication à de gargantuesques festins auxquels nous serions conviés de manière répétée et dont on ne pourrait refuser les invitations . Assez rapidement, la nourriture pourrait devenir indigeste, qu’on le sente, ou non. En devenant indigeste, elle pourrait aussi devenir nocive pour notre organisme.

De la même manière que la nourriture, l’information demande à être digérée. Intégrée. Ce qui est possible si on laisse suffisamment de temps à notre corps pour le faire. Seulement, une grande partie du temps, on a à peine commencé à digérer la première partie, que déjà une deuxième, troisième, et plus, sont ajoutées.

Résultats ?
On pourrait se retrouver saturé, embrouillé, stressé, fatigué pour ne parler que de symptômes « bénins ». Avec la pandémie, cette tendance à la saturation est renforcée et elle se mélange, en plus, avec un cocktail explosif d’émotions, augmentant encore plus la dite saturation.

Alors que faire ?

  • Comme avec la nourriture, on pourrait définir des moment précis où l’on ingère de l’information, par exemple, 2 ou 3 repas d’informations par jour maximum
  • Accorder au corps un jeune intermittent d’informations, 16 heures par jour de pure digestion, sans input supplémentaires. Si vous lisez les dernières news à 16h, vous pourrez lire les premières news le matin suivant à 8h
  • Offrir à vos oreilles et à vos sens une pratique yogique quotidienne de purification. C’est le sujet de la vidéo de cette semaine. C’est une pratique puissante qui permet aux sens de venir se reposer «  à l’intérieur » et de s’y régénerer.

Bonne pratique!
Sandra

Sophie

J’ai senti des différences énormes sur ma façon de chanter entre avant et après les séances. Plus d’ancrage et donc plus de liberté, que ce soit au niveau vocal ou scénique. Mon corps et mon esprit étaient plus liés. J’avais déjà une bonne conscience de mon corps mais le rolfing m’a donné des outils pour aller encore plus loin. Il s’agit d’une prise de conscience en fait. Je pense que dans quelque temps je referai des séances !

Bilan, Embodiment & Astrologie

Bonjour à tous,

Après 2 mois de newsletter & vidéo, c’est le temps d’un premier bilan. Quelle est votre expérience de ces 2 mois ? Qu’avez-vous apprécié et moins apprécié ?
Quels sujets/thèmes aimeriez-vous voir maintenant aborder dans les prochaines vidéos? Avez-vous généralement des souhaits ou demandes par rapport aux vidéos ?
Vos feedbacks seront très appréciés !

D’ici à la prochaine vidéo, je vous propose ci-dessous une pratique d’embodiment des narines.

Pendant le confinement, j’ai commencé à étudier, de manière structurée et sérieuse, un domaine qui me passionnait depuis des années : l’astrologie. Il se pourrait que j’inclus un peu de cette astrologie dans certaines futures newsletters !

Bon été à tous.

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EMBODIMENT DES NARINES

Dans un premier temps, prenez le temps de palper l’ensemble du nez en commençant par la racine du nez pour arriver jusqu’aux narines avec les index et majeurs. Puis, laissez vos doigts sur les narines et sentir le mouvement des narine avec la respiration naturelle.

Quand le mouvement est clair et que l’attention s’est recentrée, vous allez expirer activement en allongeant l’expiration de manière lente et progressive en partant depuis le bas ventre ( en-dessous du nombril) . Avec l’expiration, les narines vont se rapprocher de la cloison nasale (le centre du nez). Laisser le mouvement respiratoire se faire et n’inspirer que lorsque le mouvement se fait naturellement.

Il est possible que des moments de suspension de souffle apparaissent, observez l’ambiance si ces espaces apparaissent. Petit à petit, aller aussi dans le sens de laisser chaque expiration commencer par elle-même. Avec chacun de ces expirations, regardez si des contractions apparaissent dans la région du diaphragme. Si cela est le cas, réduisez l’effort, petit à petit, jusqu’à ce que le mouvement se fasse de manière fluide.

Quand le mouvement de narines devient clair, vous pouvez vivre cette pratique sans utiliser vos doigts.

A pratiquer 3 minutes par jour !

Sentir autrement

Bonjour à tous,

Les pieds nous offre bien plus qu’une capacité de soutien.

Ils sont un organe sensoriel au même titre que nos yeux et nos oreilles. Les récepteurs qui se trouvent dans la plante des pieds ont la capacité de nous informer d’un nombre infini de détails, dont notre position dans l’espace. La capacité sensorielle du pied est, de plus, directement lié à sa capacité à nous soutenir.

Les pieds que je vois arriver à mon cabinet ont souvent une tendance plutôt comprimées ou sans tonus (pieds plats). Dans les deux cas, la capacité à sentir est altérée.  Alors comment la retrouver?

La pratique de cette semaine vous propose un chemin pour s’y diriger.

L’impact d’un tel travail sur le système nerveux peut être significatif. Est-ce que cela est vrai dans votre expérience?

Belle pratique!
Sandra

Explorer nos pieds ( et y prendre du plaisir!)

Bonjour à tous!

Ces deux dernières semaines, nous avons beaucoup parlé de la tête. Cette semaine, nous allons nous déplacer à l’autre bout de notre corps : vers nos pieds.

Les pieds garantissent un soutien à l’ensemble du corps. Si ce soutien est réduit, c’est le confort du corps entier qui est impacté. Posture, blessure, douleurs peuvent diminuer ce soutien mais pas que… Par le simple fait, de ne pas ou peu les sentir, le soutien des pieds peut être partiellement coupé. La conscience du corps a, en effet, une influence directe sur sur la manière dont nous allons l’utiliser.

Pour l’expérimenter, je vais vous proposer cette semaine une pratique d’embodiment autour d’une zone précise de nos pieds : l’articulation sous-talaire, entre le talus (astragale) et le calcanéum (os du talon). Nous reviendrons plus tard sur l’intérêt de différentier les différentes zones du pied (et du reste du corps).

Je ne vous en dis pas plus.

Laissez-vous guider par la vidéo de cette semaine.

Comme d’habitude, vos feedbacks et expériences m’intéressent 🙂
Belle pratique!
Sandra

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ASCA, RME & Visana

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